Afrique/Culture/Modernité/Développement : un avenir prometteur et un rayonnement futur extraordinaire

 

Les efforts de construction mis en œuvre par les divers États post-coloniaux africains donnent aujourd’hui quelques résultats satisfaisants en matière de développement économique et social.

Ce travail quantitatif se poursuivra dans une optique de rattrapage des grandes économies du monde. Dans moins de cinquante ans, plusieurs pays africains joueront un rôle économique mondial. C’est certain et le processus ne pourra être stoppé.

 

 

1 – L’Union Africaine (UA) et ses 55 pays répertoriés : une future superpuissance globale

 

Quant à l’Union Africaine (UA) et ses 55 pays répertoriés actuellement, elle fera partie des plus grandes superpuissances globales du monde, avec les USA, l’Union Européenne (UE), la Chine, l’Inde et la Russie, etc.

La présente publication essayera de ressortir pour une fois les aspects qualitatifs du développement, c’est-à-dire la dimension africaine des processus de construction de nos Etats modernes africains.

 

 

2 – Développement quantitatif et qualitatif 

Divers aspects des identités africaines du développement seront revisités et concernent : l’art, les traditions, les cultures, le cinéma, la musique, les sciences et technologies, le design, l’architecture, la gastronomie, etc.

 

En réalité, ce sont toutes ces spécificités africaines qui donnent une marque particulière aux processus de développement mis en oeuvre par les régimes politiques africains.

C’est notre histoire, c’est notre culture, c’est notre science et nos technologies. C’est enfin notre force touristique et toutes ces choses qui feront de l’Afrique de demain une destination touristique de premier ordre.

 

 

Malheureusement, l’esclavage et la colonisation ont essayé d’effacer toutes les forces vives et toutes les réalités des civilisations africaines, pour les transformer en entités culturelles amorphes et en copies pâles des civilisations occidentales. Bref, un monde sans saveur et sans attraits particuliers.

 

 

3 – Un continent africain au passé détruit, qui reste fort

Un travail de mémoire et de réhabilitation est donc nécessaire aujourd’hui pour reconstruire et faire renaître notre histoire en partie détruite. L’art, la musique, le design africain, la cuisine, l’architecture, les sciences et technologies de notre continent s’exportent et se commercialisent. C’est une bonne nouvelle.

 

 

Faut-il rappeler également que les reliquats non détruits de nos civilisations qui survivent difficilement, conservent une force et une richesse inouïes ? Notre Afrique demeure forte. We stand strong (Burning Spear).

 

 

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