Les animaux, sauf exception, ne sont pas programmés pour faire le mal. L’IA (intelligence artificielle) ne sera vraiment compétitive, que si elle s’affranchit totalement de l’homme. A ce stade, tout comme les animaux, elle sera bienveillante, soustraite des compétitions, de la jalousie et de l’esprit du mal envieux et pernicieux.
Personnellement et sérieusement, je ne crois pas qu’une intelligence artificielle très avancée et totalement autonome, soit programmée pour faire le mal. Pourquoi ?
Elle n’a absolument aucune raison d’intégrer le mal (humain) dans ses programmes : destruction, guerre, violences, racisme, tribalisme, amour, plaisir, peur, cupidité, jalousie, cruauté, esprit de richesse, malveillance ?!
Mais je reste opposé au remplacement des êtres humains dans le milieu professionnel par des machines intelligentes. Ici, c’est un autre combat. En réalité, c’est totalement stupide. Le remplacement des hommes par des machines (ou des robots) sur les lieux de travail ne profite qu’aux patrons d’entreprises.
C’est un désastre au niveau des luttes contre le chômage et un facteur supplémentaire d’appauvrissement des populations jeunes et adultes. Le seul gagnant est le patron d’entreprise ou le responsable des services qui voit ses bénéfices croître par la réduction drastique des charges salariales et sociales.
Concernant les problèmes de fond, il faut également avoir le courage de les aborder. Une intelligence artificielle globale et très avancée peut-elle programmer la destruction de l’humanité ?
C’est probable, si l’être humain est un danger pour le cosmos, en exportant son bellicisme, son colonialisme, son esprit d’appropriation débridée et surtout ses guerres et ses violences. Mais ici également, c’est un autre problème.
Une guerre entre la malveillance et la bienveillance, qui gagnera ?
Images et illustrations : www.google.com et autres réseaux sociaux. Texte et base de données paixetdeveloppement.
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