Le leadership du nouveau président américain, son excellence Donald Trump, se caractérise par le règlement pacifique des conflits dans le monde.
Cet élan pacifiste s’est exprimé récemment en Syrie (qui redevient un pays normal et civilisé) et surtout en Israël (guerre avec le Hamas et le Liban, avec un cessez-le-feu fragile).
En plaçant la paix au centre des relations internationales, malgré la force militaire ahurissante des USA, le président Donald Trump veut aider ces pays en guerre à mettre fin aux processus d’appauvrissement, aux violences destructrices et meurtrières et aux souffrances des populations.
Des pays sérieux ont donc saisi cette perche de paix : Israël et Hamas, Liban, Syrie, Russie (conflit russo-ukrainien), etc. Ce processus se poursuivra certainement.
Mais des groupes rebelles impitoyables et fanatisés, des pays belliqueux et des systèmes industriels civils ou militaires, qui adorent les guerres, l’économie de guerre et les désordres divers, entretiennent des conflits sanglants, ou ouvrent de nouveaux foyers de guerre dans le monde.
Hier et aujourd’hui, ces horizons de conflits destructeurs sont : RD Congo et rebelles du M23 appuyés par l’armée du Rwanda, Ukraine, Soudan, Yémen, etc.
Concernant la RD Congo, un pays faible structurellement fragile et instable, il faut noter l’échec des régimes successifs dans la protection des frontières du pays et des populations vulnérables. La seule zone pacifiée reste la capitale politique Kinshasa, siège des institutions de la république. Ailleurs, c’est le désordre et l’insécurité.
Les régimes démocratiques passent, l’instabilité et la fragilité du pays demeurent, avec des mouvements rebelles armés (qui adorent les instabilités en aidant à piller le sous-sol).
Le rôle de grandeur du Rwanda du président Paul Kagame étonne également, malgré les fragilités structurelles du pays. Soupçons légitimes et convoitises des richesses de la RD Congo : ce pays doit toutefois clarifier son leadership pacifique sous-régional…
Concernant tous ces pays, on ne parle plus de paix. Il est si bon de faire la guerre et de semer tristesses et désolations. Car ici, la guerre nourrit bien une nébuleuse économique importante et un complexe militaire et civil puissant.
On accuse les minerais rares des nouvelles technologies, qui deviennent abordables et rentables dans des zones sans Etat et sans taxes. Dommage.
Mais, le non-dit, c’est surtout cette volonté d’agir ouvertement contre la politique de paix du président Donald Trump. Et le ridicule, c’est lorsque l’Afrique s’y met…
Images et illustrations : www.google.com et www.facebook.com et autres réseaux sociaux. Texte paixetdevelopement et base de données Internet paixetdevelopement.
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